Yves Montand devrait être ravi de voir cette photo
Quand on partait de bon matin Quand on partait sur les chemins A bicyclette Nous étions quelques bons copains Y avait Fernand y avait Firmin Y avait Francis et Sébastien Et puis Paulette
On était tous amoureux d'elle On se sentait pousser des ailes A bicyclette Sur les petits chemins de terre On a souvent vécu l'enfer Pour ne pas mettre pied à terre Devant Paulette
Faut dire qu'elle y mettait du cur C'était la fille du facteur A bicyclette Et depuis qu'elle avait huit ans Elle avait fait en le suivant Tous les chemins environnants A bicyclette
Quand on approchait la rivière On déposait dans les fougères Nos bicyclettes Puis on se roulait dans les champs Faisant naître un bouquet changeant De sauterelles, de papillons Et de rainettes
Quand le soleil à l'horizon Profilait sur tous les buissons Nos silhouettes On revenait fourbus contents Le cur un peu vague pourtant De n'être pas seul un instant Avec Paulette
Prendre furtivement sa main Oublier un peu les copains La bicyclette On se disait c'est pour demain J'oserai, j'oserai demain Quand on ira sur les chemins A bicyclette
RépondreSupprimerLa poudre d'escampette à bicyclette, même les rats ont quitté le navire !!
Bone soirée.
Amicalement.
Bises.
RépondreSupprimerTriste fin de vie pour ce bateau. Vélos cherchent nouveaux propriétaires. J'aime, merci.
RépondreSupprimervoyage sur l'eau et voyage sur la route...tout est prévu
RépondreSupprimerIls ont sûrement trouvé acquerreur. :)
Passe une douce journée. Bisous.
RépondreSupprimerje prend si personne n'en veut, à Paris cela devient vital le vélo
bisous zezette
RépondreSupprimerj'espère qu'ils ont profdité à des enfants dont les parents sont en difficulté , bise zezette
RépondreSupprimerc'est rare un remorqueur a voile, c'est pas plutot les velos qui remorquaient ? @@@@+BISE
RépondreSupprimerYves Montand devrait être ravi de voir cette photo
Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait Fernand y avait Firmin
Y avait Francis et Sébastien
Et puis Paulette
On était tous amoureux d'elle
On se sentait pousser des ailes
A bicyclette
Sur les petits chemins de terre
On a souvent vécu l'enfer
Pour ne pas mettre pied à terre
Devant Paulette
Faut dire qu'elle y mettait du cur
C'était la fille du facteur
A bicyclette
Et depuis qu'elle avait huit ans
Elle avait fait en le suivant
Tous les chemins environnants
A bicyclette
Quand on approchait la rivière
On déposait dans les fougères
Nos bicyclettes
Puis on se roulait dans les champs
Faisant naître un bouquet changeant
De sauterelles, de papillons
Et de rainettes
Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus contents
Le cur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant
Avec Paulette
Prendre furtivement sa main
Oublier un peu les copains
La bicyclette
On se disait c'est pour demain
J'oserai, j'oserai demain
Quand on ira sur les chemins
A bicyclette
bise zezette
RépondreSupprimerNous n'avons jamais revu les vélos.
Bisous et bon week-end.
RépondreSupprimerHa !ma pov. Lucette ! tout fout'l'camp !!!! J'espère que tu vas bien Danielle, bisous
RépondreSupprimertoujours mes 20 bornes par jour sur mon vélo d'appart ... bise zezette
RépondreSupprimerDepuis le 23 janvier je suis parti à leur recherche !
Bonne fin de semaine.
Bises.